Lancée en 2016, L’ESAM propose des activités mélangeant l’art et le sport. Présente dans les Alpes-Maritimes, l’enseigne compte prochainement se développer en franchise.
D’abord amies d’enfance : Cécile Varyot-Gomez et Émilie Durussel-Biondo sont aujourd’hui co-fondatrices de L’ESAM. L’École du Sport des Arts et de la Montagne permet à toute la famille, mais également aux entreprises de pratiquer du sport en moyenne montagne et en plein air. Grâce à ce format, l’enseigne prend le contre-pied des salles de sport.
« L’objectif n’est pas la performance, mais plutôt d’apporter une meilleure hygiène de vie avec une pratique bien faite. »
Cécile Varyot-Gomez, co-fondatrice et présidente de L’ESAM.
L’art du sport
L’ESAM propose une offre d’activités sportives complète et notamment pour les enfants et les adolescents. En effet, le choix de sport est large allant de la draisienne au tir à l’arc en passant par l’escalade, la randonnée, le kayak ou encore de l’orientation. Chaque activité permet le développement d’une capacité comme l’agilité, l’équilibre, la concentration ou la précision. Si pour les enfants des abonnements annuels sont disponibles, des stages pendant les vacances scolaires sont également possibles. Ces derniers peuvent être composés d’activités variées et être plus spécifique sur un sport en particulier comme le ski ou la natation. Pour les adultes, les différentes séances permettent surtout de travailler la tonicité, l’endurance, le cardio et le renforcement musculaire, le tout évidemment en pleine nature. L’ESAM pense également aux seniors avec des programmes sport/santé ou encore des coachings privés. Un bon moyen de lutter contre la sédentarité.
L’art et la manière
L’École du Sport des Arts et de la Montagne propose également des activités artistiques afin de permettre aux petits comme aux grands de prendre du plaisir et de la confiance en soi. Pour cela, l’enseigne dispose des cours de chant, d’écriture, de théâtre, de danse et d’instrument. Dans ce sens, L’ESAM crée aussi ses propres comédies musicales. Appelée Les Maux d’Enfants, cette expérience inédite permet à 16 ESAMers de mettre en œuvre un spectacle. « Après des sélections grâce à des auditions, la troupe va pouvoir enregistrer en studio, créer des clips, se rendre dans des radios ou encore se déplacer régulièrement notamment sur St-Laurent-du-Var et Monaco afin de représenter les Droits Internationaux des enfants. » précise l’enseigne et de continuer : « Au travers de nos chansons, nous souhaitons interpeller et amener à la réflexion ou bien même à des prises de conscience. Certaines chansons sont d’ailleurs chantées lors de la journée internationale des droits de l’enfant, dans de nombreuses villes de France, notamment les villes amies des enfants. »
L’art de la franchise
Pour ouvrir une franchise L’ESAM, les droits d’entrée sont de 15 000 euros et complétés par une redevance de 4 % (3 % d’exploitation et 1 % de communication). Même si le réseau est encore jeune, la tête de ce dernier veut se développer afin de diffuser ses messages au plus grand nombre et présente un message fort : « Notre réseau de franchises contribue ainsi à participer à l’avenir de demain. » Pour ce faire, 13 ouvertures sont espérées d’ici 2027 et une trentaine d’ici 2030. Afin de bien faire les choses, l’enseigne veut prendre le temps de regarder les profils. “Nous préférons partir avec des personnes qui ont des valeurs humaines. Si elles ne viennent pas du milieu sportif ou artistique, mais qu’il y a de l’humain, c’est ok », conclut Cécile Varyot-Gomez
