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Se lancer en franchise

Immerialys, de l’affiliation à la franchise

À l’origine, Immerialys était une société de marchands de biens. Après avoir été société de conseil à partir de 2015, elle est devenue un réseau de marchands de biens affiliés en 2016 avec 60 membres en 2021. Par la suite, le réseau s’est structuré dans le but de transmettre le savoir-faire de son fondateur et sa méthode à succès. En 2022, Immerialys devient franchiseur et compte aujourd’hui 70 marchands de biens, avec 18 salariés.

Suite au succès grandissant de Cap Investissements, sa première entreprise dans le secteur de l’immobilier et fort de ses vingt années d’expérience, Didier Lerousseau lance le réseau Immerialys en 2013. En France, il n’existait alors ni école ni méthodologie chartée pour obtenir un diplôme de marchands de biens. 

Le métier n’a pas bonne presse. On trouve beaucoup d’études théoriques sur le sujet mais la pratique n’est pas vraiment dispensée à qui souhaite l’exercer. Il fallait donc redonner du crédit à ce métier, en permettant à des entrepreneurs de s’entourer d’acteurs compétents autour d’une même marque. Le besoin du marché est d’ailleurs grandissant en matière de revalorisation de biens immobiliers”, explique ainsi Didier Lerousseau.

Des engagements supplémentaires

Depuis, Immerialys a gagné en notoriété : c’est devenu le premier réseau de marchands de biens franchisés en 2022. Pour François Klein, entré dans le réseau fin 2021, après avoir évolué dans l’immobilier depuis 1998 et précédemment directeur de cabinet de syndic, cette transition était une “réitération du contrat, avec des engagements supplémentaires vis-à-vis du franchiseur mais qui apportait plus de protection que sous affiliation”. Opérant à ce jour dans les Yvelines, les Hauts-De-Seine et le Val-d’Oise, ce dernier, enthousiaste, se voit même “prospecter ailleurs” et “embaucher des salariés”.

Un marché de niche mais porteur

Le réseau profite d’un climat du marché propice aux revalorisations de biens immobiliers sur tout le territoire. “En effet, vis-à-vis des besoins énergétiques, de la lutte contre les passoires thermiques comme de la conservation du patrimoine français, il faut faire attention de ne pas laisser ces bâtiments à potentiel à l’abandon. Un marché qui n’est pas bien exploité ou comporte trop de bâtiments inhabités par exemple, nuit et nuira au dynamisme de certaines communes ! Cela se répercutera également sur le marché locatif dès février 2024 avec des pénuries dans les grandes villes. Ainsi, si un bien est classé G en termes de DPE*, il faudra engager des mises en conformités énergétiques, ce qui sera, à terme, plus profitable et responsable pour l’acquéreur une fois les travaux effectués”, précise Didier Lerousseau.

De plus, le marchand de biens franchisé peut, en simultané, cumuler plusieurs opérations sur sa/ ses zone(s), pour répondre aux besoins du marché. Tout en œuvrant aussi bien pour “revaloriser un ensemble immobilier, offrir une seconde vie à des complexes hôteliers ou encore créer des logements de plus petites surfaces pour des primo-accédants, par exemple”, note encore le dirigeant. L’achat-revente est un marché où les opportunités ne manquent pas : cela incite l’enseigne à “viser d’ici à fin 2023, la centaine de membres, voire 120 d’ici début 2024, en s’appuyant sur le concept éprouvé des affiliés, en pilote, pour garantir une approche optimale aux franchisés. Mais autour d’un développement qualitatif, humain et structuré”, toujours selon Didier Lerousseau.

Allez plus loin !

Lisez la suite dans le numéro 228 de L’Officiel de la Franchise de mars 2023 !

 

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